Mathieu
J’ai choisi de rejoindre le Collectif pour Albi parce que je suis aujourd’hui persuadé qu’il faut faire de la politique autrement si on ne veut pas aller dans le mur. Et ça commence à petite échelle, localement, là où l’on vit !
Le rejet par les citoyens de la démocratie représentative telle qu’elle est appliquée aujourd’hui est évident : il faut changer le logiciel afin de redonner confiance au gens. Mieux, il faut réellement écouter les besoins et aspirations des habitants, et les impliquer dans les débats d’idées et les prises de décisions ! Et c’est exactement ce à quoi s’attelle le collectif, avant, pendant et après les élections : quelque soit le résultat.
Christophe
J’ai rejoint le Collectif dans les premiers mois de sa création, frappé par l’urgence d’une action locale en matière sociale et environnementale.
Notre ville me paraissait – et me parait toujours – comme coupée du monde, ne rêvant que de patrimoine et d’activités touristiques. Et ceci depuis des décennies.
Nous sommes endormis par une communication bien rôdée mais au quotidien : des accidents de vélos, un manque cruel de médecins, des quartiers en souffrance, des espaces agricoles livrés à des entreprises à la recherche de profits immédiats. Il fallait passer à l’action politique de terrain mais sous des formes neuves. N’ayant jamais appartenu à aucun parti, je me mobilise dans un cadre différent : celui du Collectif. J’y trouve un espace de dialogue et de construction de projet sans verrouillage politicien d’aucune sorte. Voilà.
Jean-Claude
J’ai adhéré a ce collectif dès la première réunion parce que j’ai ressenti la volonté de travailler ensemble afin de mettre sur pied un programme discuté et proposé par les Albigeoises et Albigeois. Totalement l’inverse des décisions arbitraires prises par les membres de la majorité municipale actuelle.
Ma vie militante syndicale, politique et sportive fait que ce fonctionnement du collectif m’a emballé. J’ai tout fait jusqu’à ce jour pour en arriver là ou nous en sommes, et je continuerai de militer en son sein afin de rendre aux Albigeoises et Albigeois le droit de faire de la politique autrement.
Aucune ambition ne m’anime si ce n’est la volonté de créer les conditions qui permettront à la majorité municipale de retourner à ses chères études après un « règne » sans partage qui n’a que trop duré.
Nous avons la possibilité d’avoir une majorité « démocratique sociale et écologique », et je ferai tout mon possible pour donner la parole aux Albigeoises et aux Albigeois afin de leur rendre leur ville : Albi.
Didier
Je suis citoyen sans étiquette, je m’inscris dans le collectif pour Albi, je souhaite que chaque albigeois puisse renouveler la démocratie. Une plateforme numérique citoyenne pourrait faire grandir le collectif. La richesse c’est la diversité.
Frédérique
L’engagement sur le Collectif dès le début était pour moi la suite
« logique » des engagements associatifs mais aussi de rencontres ces
dernières années. Avec Steve Read (Ma Commune en Action), avec Jon
Attias (Des Clics de Conscience, Désobéissance Fertile),
avec Steven et Mélina (Porteurs de Liens). Ils ont tous, chacun à leur
façon encouragé à se lancer sur un Collectif pour les Municipales.
Porter un militantisme « confidentiel » à une action municipale.
Environnement, social et solidarité… envie de vivre dans une ville qui
soit porteuse de vie et de biodiversité plutôt qu’une ville vendue aux
bétonneurs à l’extérieur et aux promoteurs à l’intérieur. Envie de
consommer local au maximum. Et envie de faire
connaître et d’utiliser les outils et méthodes de démocratie
participative, ainsi que de CNV (Communication Non Violente) lors des
débats et assemblées générales…
Avec ou sans partis politiques ? Pourquoi pas avec s’ils sont « verts » et « de gauche »…
Claudie
J’ai décidé de m’engager dans le Collectif Démocratique, Solidaire, Écologique car ses valeurs sont essentielles pour l’avenir de notre ville.
Antoine
Depuis toujours attentif au bien commun, je suis particulièrement sensible aux questions de soin des familles ce qui explique mon engagement associatif fort à l’école Lapérouse-Carpantier. Après ce que j’ai vu (fermeture Camille Claudel…), il me semble nécessaire aujourd’hui de donner une nouvelle dimension à mon engagement auprès des albigeois.
Agnès
Soucieuse d’une plus grande justice sociale, soucieuse d’une réelle prise en compte écologique de toutes et tous, soucieuse de plus de démocratie à l’échelle locale, j’ai besoin de m’investir pour atteindre ces objectifs.
Impliquée dans plusieurs associations albigeoises depuis plusieurs années, j’éprouve maintenant le besoin de m’impliquer au niveau politique. J’ai envie de changer des choses qui ne me conviennent pas et c’est pour cela que j’ai rejoint le Collectif pour Albi. Je souhaite participer à la mise en place d’une politique de la ville ouverte à toutes et tous, pour et par les albigeoises et albigeois.
Jean, militant de l'accès au soin
Je m’engage en tant que militant de l’accès aux soins pour tous et partout, en tant que militant écologique d’Albi Vert Demain, en tant que militant de la lutte contre la pollution de l’air, en tant que partisan de la lutte contre toutes les inégalités.
Je ne supporte plus ces mairies de droite sur Albi qui ne s’intéressent qu’au centre ville, qui favorisent les cliniques lucratives au détriment de l’hôpital public, qui dénigrent toutes les propositions des citoyens de base.
Je suis pour une démocratie participative, pour une union la plus large possible des démocrates, qui n’ont d’autre but que le bien commun.
Nathalie
J’ai rejoint le collectif, appelée et interpellée par une dynamique généreuse, porteuse de vie. C’est bien de cela dont nous avons besoin ! Trouver ensemble un chemin pour répondre aux urgences de notre temps : crise sociale, crise sanitaire, crise climatique, crise de confiance, crise d’humanité. Agir localement, pour la vie de tous les jours : oui, il est possible de faire autrement. Tout n’est pas écrit d’avance.
Le Collectif permet déjà de créer des espaces et des temps où il est possible de faire émerger les idées, les désirs, pour tisser la suite de l’histoire. Une histoire démocratique, solidaire et écologique, appelant tous les albigeois à faire de la politique. C’est pour cela que, venant du monde associatif, j’ai décidé de m’engager politiquement pour ma ville et ses habitants.
Jean-Pierre
Je suis depuis le début au sein du collectif afin de participer à la construction et la mise en place de nouvelles formes de politique. Cette politique qui consiste à donner la parole aux citoyens afin de leur permettre d’exprimer leurs besoins, et de co-construire ensemble les solutions qui y répondraient. A l’inverse de ce qui est fait aujourd’hui, qui consiste à venir vous voir avec un plan tout fait pour la ville, et qui est mis en place sans consultation.
Nadia, aide soignante
Je suis impliquée dans le Collectif pour Albi pour une réelle démocratie.
Francine
De par mon expérience de psychiatre psychanalyste, et par mon engagement politique qui va de pair, j’ai rejoint le collectif D,E,S, dans sa détermination commune à résister à une politique ultra-libérale, de plus en plus destructrice et déshumanisante. Il y a urgence à agir ENSEMBLE, en mettant en COMMUN nos idées, en s’enrichissant de nos différences, pour réaliser, localement déjà, des actions recréant du lien, facilitant les rencontres, promouvant la création, l’art et l’artisanat, l’éducation dite populaire, le soin…
C’est pourquoi j’ai milité ou apporté mon soutien à : la CORNEC (ex-FCPE) ; le GFEN (Groupe Français d’Education Nouvelle) ; la MAFEDI ; le CDHSA ; le MRAP ; RESF ; le CPalestine 81 ; le collectif Tchétchénie, l’AJET….
Plus récemment, avec des personnes intéressées par la psychanalyse, nous avons constitué un « collectif psychanalyse et politique » pour analyser la société contemporaine, par la lecture de nombreux et divers auteurs.
A partir de ce collectif, il nous est apparu nécessaire de créer le C.A.P.(Centre d’Accueil Psychanalytique), gratuit et animé par des bénévoles (psychanalystes et non psy), accueillant toute personne en souffrance psychique sous toutes ses formes, et cela dans l’anonymat, sans dossier informatisé, sans protocole et avec tout le travail théorico-clinique nécessaire à la réflexion permanente de chaque intervenant. La nécessité de débats publics sur les maux contemporains s’imposait, du fait de cet abord de la personne dans sa globalité, individuelle et collective…
Cette expérience date de 2012, et nous révèle, hélas, toujours plus, la déshumanisation de la prise en charge du « mal-être » des personnes en souffrance…
Marie-Rose
Mon objectif :
Contribuer avec notre Collectif pour Albi… à lutter contre la précarité que subissent de nombreuses familles et personnes seules, en leur apportant plus de solidarité.
Souvent cette pauvreté forme une barrière pour l’accès à la culture ! Découvrir dès le jeune âge les dons et les talents artistiques ou manuels de chacun.