Le Collectif pour Albi et ses membres s’inscrivent pleinement dans la lignée de la déclaration du 20 décembre fait par EELV dans la Dépêche du Midi vis à vis des commerces en centre-ville.
Nous souhaitons simplement compléter en précisant que notre priorité reste bien le re-développement d’un commerce de proximité utile au quotidien des habitants du centre-ville, et à des prix accessibles. Actuellement la majorité des commerces qui tiennent le coup sont plutôt à destination des touristes, et beaucoup appartiennent à des grandes chaînes, toujours très éloignées de l’artisanat local.
Cette re-dynamisation ne va pas sans la dimension humaine et locale : le centre-ville, c’est
d’abord des gens qui y vivent et qui ont besoin de commerces de proximité.
Évidement, le centre-ville doit rester attractif pour tous les albigeois et consommateurs qui y viennent, mais ce n’est pas qu’une histoire de chiffre d’affaire, c’est aussi du vivant, de l’humain.
Pour cela, la municipalité doit mener une politique incitative en matière de logement, de fiscalité mais aussi de mobilité !
Les membres du Collectif pour Albi.
Ras le bol de l’hypocrisie de la Mairie actuelle, qui envahit les alentours de centres commerciaux, où le stationnement est gratuit – et du coup les parc-mètres ont fleuri dans les moindre recoins de la ville (quand ce n’est pas la bétonite aigüe qui fait naître 1 immeuble là où il y avait encore 1 peu de place (j’évoque le mini parking de la place Ste Claire, dit « du Conseil Général » – Sans parler des petits jardins place Lapérous ou au Castelvieil : arbres coupés, béton partout …
Hypocrisie aussi d’avoir le culot de coller sur les vitrines des magasins fermés, pleines de « bail à céder », etc … des stickers jaunes annonçant l’ouverture « prochaine » (????) d’une échope … Ex. 1 des fleurons d’habits pour Messieurs : « La Ville de Paris », seul lieu où trouver des chemises à manchettes pour mon gendre (haut fonctionnaire …) = FERME …
Et je ne parle pas du « monstre » soit-disant culturel construit par le prédécesseur de Mme de … qui a détruit tout le quartier de l’avenue de Gaulle …
Ma ville tant aimée n’est plus …