Contrairement aux dires de la candidate Stéphanie Guiraud-Chaumeil, la ville n’a jusqu’ici pas fait grand chose, et a encore beaucoup de chemin à faire pour être exemplaire en matière de transport en commun.
Preuve en est cet extrait du rapport du CEREMA de 2016 (en bas de la page) exhumé par l’association Viv’Albi. Il vient justifier les attentes qu’ont exprimé un bon nombre d’albigeois ayant rejoint le Collectif pour Albi et qui souhaitent que ça bouge : enfin.
Quand aux grandes pistes cyclables situées le long de la rocade et réalisées jusqu’ici, elles n’ont été possible que grâce aux services de l’état qui ont acheté le foncier dans le cadre du doublement de la rocade d’Albi, et ont rétrocédé gratuitement les bouts de parcelle inutilisées à la ville.
Ce jeudi 19 décembre dans un article de la Dépêche du Midi, la candidate Muriel Roques Étienne, accessoirement élue depuis en charge des transports à l’agglomération depuis 2014, s’engage sur des objectifs déjà programmés dans le mandat en cours, et qui s’inscrivent simplement dans la continuité de l’inaction de l’équipe municipale actuelle.
👉 Le Collectif pour Albi ne souhaite pas enfoncer des portes ouvertes, ni s’inscrire dans la continuité de ce qui est fait depuis plus de 10 ans, mais souhaite remettre à plat toute la politique des transports de l’agglomération. Il souhaite faire preuve d’idées innovantes issues des albigeois eux-même, pour rendre les transports en commun plus attractifs et les déplacements à vélo et à pied plus sûr !
Tout ceci principalement pour des raisons Écologiques, de Santé Publique mais aussi Économiques pour les déplacements domicile-travail des albigeois.
Le Collectif pour Albi 19/12/2019